Drone et impression 3D

Quels sont les deux domaines d’activité dont la montée en puissance est exceptionnelle?

Si, même en France. Bon d’accord, l’une d’entre elle est en train d’être tuée dans l’oeuf par l’administration. Faut pas déconner, aucune tête ne doit dépasser!

Néanmoins, malgré les obstacles administratifs, les drones prennent le ciel d’assaut. Combinant deux activités passionnantes, la photo et l’aéromodélisme, le drone fait fureur. Une activité « fun », un investissement raisonnable, il n’en faut pas plus pour qu’une armada de jeunes entrepreneurs en herbe prennent leur envol.

« Investissement raisonnable », c’est un point de vue relatif. 6000 à 15000 euros par drone auquel il faut ajouter le prix d’un (très) bon appareil photo. Et c’est ici qu’intervient le domaine d’activité qui nous intéresse de prime: l’impression 3D.

Un assemblage de pièces dont la plupart ne se trouve pas dans le commerce. J’avais déjà évoqué la construction de drone dans un précédent billet, dans lequel je montrais l’intérêt de l’impression 3D quand on cherchait à concevoir seul une machine professionnelle. Quasiment toute la structure peut s’imprimer.  Certes, la plupart des imprimantes 3D abordables n’imprime pas en carbone et vous obtiendrez un châssis légèrement plus lourd. (Ndlr: La Mark One, hélas toujours en pré-commande, permettra d’imprimer des pièces en carbone). Cependant, quelle liberté! Imaginer, concevoir et imprimer en 3D son châssis c’est magique.

Afin d’aller plus loin, je vous invite à en discuter sur un forum spécialisé très sympa, conseillé par Rocou, fidèle lecteur et emmerdeur de première.